L'ANPE (suite)

Comme on a commencé, on continue mes déboires avec l'ANPE. Enfin déboires, disons que j'ai eu droit à "mais vous ne voulez pas faire un CAP?". C'est assez fun quand on sait qu'on cherche un boulot plutôt typé et axé bac+5.


Le plus drôle dans tout ça, c'est que je devrais être à l'APEC. Mais non, je suis à l'ANPE. J'ai eu beau le dire, ça n'a rien changé..
Donc, je me retrouve avec des annonces d'emploi qui ne me correspondent pas.

Je cherche par moi-même évidemment, mais pour le moment aucune réponse. Bon, c'est la crise et évidemment, quand c'est la crise, c'est infernal crisis.

C'est aussi la crise depuis 30 ans. Mais c'est une autre histoire. il serait bien d'arrêter d'envoyer tout le monde au même organisme quand on sait les champs de compétence et les spécialisations qu'il faut.

Je dirais que non, tous les gens qui travaillent à l'ANPE ne sont pas d'une compétence énorme. Le marché de l'emploi, ils connaissent surtout le principal. Le mien, on ne peut pas dire que ça soit le cas.

Bien sûr évidemment, on devrait me laisser terminer ce que je dois impérativement terminer.

Alors, j'ai beau avoir une "formation" (ha ha ha, la blague), pardon, un "coach", auquel j'ai du raconter toute ma vie, sans le vouloir vraiment d'ailleurs. Ca ne résout rien. Je suis toujours à la recherche de quelque chose de solide.

Quand je pense que j'ai toujours souhaité monter des choses.

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