J'en oublie CDDJ.
J'ai pas bossé sur cddj depuis une semaine. Ca m'inquiète. En général, quand je fais ça, c'est que je n'ai plus la foi dans ce que je fais. Peut-être un vague esprit de lassitude, je ne sais pas. Ca n'avance pas plus que ça. On a bien quadrupler les visites en une année mais on partait de tellement loin que finalement, on n'est même pas encore dans ce foutu classement Alexa pour la France.
Je crois que c'est ça qui m'inquiète. Je sais ce qu'il faut faire mais j'ai toujours du mal à passer le cap. Comme si j'étais un brin tétanisé. Je sais pourtant qu'il faut qu'on migre vers quelque chose de plus professionnel, que pour le référencement, il n'y a que ça de vrai ; que j'éparpille un peu le lien de partout où je peux, quitte à saouler grave avec. Mais je me retiens, comme toujours, comme si je ne voulais pas déranger, avec cette humilité de merde qui me colle toujours à la peau. En faisant ça, j'en oublie que dans la vie, il faut s'imposer. Qu'il n'y a que des vainqueurs et des vaincu, des gagnants et des perdants. La troisième voie, je crois qu'elle n'existe finalement pas.
J'ai vraiment envie de faire de ce site quelque chose d'intéressant, qui peut plaire aux gens, qui soit une fenêtre ouverte sur le cinéma mais pas que, qu'on se sorte un peu les doigts du cul pour pondre des analyses, non pas comme dans une fac de cinéma, mais comme un spectateur averti, avec certes des références mais des références cool et classe. Bref, éviter de parler du cinéma de festival d'auteurs ni du cinéma de genre pour essayer de faire une brèche entre les deux. Parler de séries, de livres, de BD qui m'ont marqué mais qui sont peut-être dépassée maintenant. Je cherche autant un second souffle qu'une envie de faire partager ma passion.
C'est juste dommage qu'elle soit totalement chronophage, qu'elle ne rapporte rien, si ce n'est des engueulades et quelques rires, voire surtout de l'indifférence. C'est peut-être ça qui me gène, l'indifférence. Peut-être aussi que je cogite trop à des futilités et pas assez à des choses importantes. Mais c'est peut-être dans ce qui est le plus futile que l'on trouve ce qui est le plus utile.
Je crois que c'est ça qui m'inquiète. Je sais ce qu'il faut faire mais j'ai toujours du mal à passer le cap. Comme si j'étais un brin tétanisé. Je sais pourtant qu'il faut qu'on migre vers quelque chose de plus professionnel, que pour le référencement, il n'y a que ça de vrai ; que j'éparpille un peu le lien de partout où je peux, quitte à saouler grave avec. Mais je me retiens, comme toujours, comme si je ne voulais pas déranger, avec cette humilité de merde qui me colle toujours à la peau. En faisant ça, j'en oublie que dans la vie, il faut s'imposer. Qu'il n'y a que des vainqueurs et des vaincu, des gagnants et des perdants. La troisième voie, je crois qu'elle n'existe finalement pas.
J'ai vraiment envie de faire de ce site quelque chose d'intéressant, qui peut plaire aux gens, qui soit une fenêtre ouverte sur le cinéma mais pas que, qu'on se sorte un peu les doigts du cul pour pondre des analyses, non pas comme dans une fac de cinéma, mais comme un spectateur averti, avec certes des références mais des références cool et classe. Bref, éviter de parler du cinéma de festival d'auteurs ni du cinéma de genre pour essayer de faire une brèche entre les deux. Parler de séries, de livres, de BD qui m'ont marqué mais qui sont peut-être dépassée maintenant. Je cherche autant un second souffle qu'une envie de faire partager ma passion.
C'est juste dommage qu'elle soit totalement chronophage, qu'elle ne rapporte rien, si ce n'est des engueulades et quelques rires, voire surtout de l'indifférence. C'est peut-être ça qui me gène, l'indifférence. Peut-être aussi que je cogite trop à des futilités et pas assez à des choses importantes. Mais c'est peut-être dans ce qui est le plus futile que l'on trouve ce qui est le plus utile.
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